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vendredi 9 mai 2008

La quète du Vicomte





Toi qui est soumise et fière de l'être.

Toi qui voudrait être mienne

Voici les règles auquelles tu devras te restraindre...


Le Vicomte.







Les 10 Règles du Vicomte.


- De pentalon jamais tu ne porteras en ma présence.

- De Satin tu te vêtiras en ma présence.

- De sous-vêtements tu ne porteras en ma présence.

- Les yeux baissés tu garderas, mon regard tu ne soutiendras !

- Les mains dans le dos le plus souvent tu garderas.

- Les jambes croisées jamais tu ne garderas.

- Cambrée et fière de ta condition tu resteras.

- La position d'attente tu conserveras si tu dois m'attendre.*

- Mr Le Vicomte tu m'appèlleras.

- Le vouvoyement tu utiliseras pour t'adresser à moi.


* La position d'attente

- A genoux

- Cambrée la tête haute

- Les yeux baissés

- La bouche entre-ouverte

- Mains dans le dos

jeudi 8 mai 2008

mercredi 7 mai 2008

La Brûlure du satin (extrait du livre).

Gwenn adorait le contact du satin, cette douceur qui glissait sur son corps, cette fluidité qui la mettait en valeur, cette légèreté qui accompagnait la fluidité de son corps et elle apportait au satin une prestance jamais vue alors.

S’en était maladif, elle ne pouvait plus s’en passer, un foulard ne suffisait plus, elle portait de plus en plus souvent de robes en satin, des jupes satinées, des chemisiers, et ce, du matin au soir, et du soir au matin.

Ce qu’elle appréciait le plus, était la sensation de liberté de mouvements que lui offrait ce tissus, et le soir venu, elle se précipitait dans sa chambre, pour passer l’une de ses nombreuses nuisettes en satin, la plus longue possible, de façon a ce qu’elle puisse ressentir au maximum, le contact de ce qui devenait son « amant ».

Elle était étendue sur son lit, drap en satin contre nuisette longue en satin, elle adorait cette sensation de glisse.

Ce soir, c’était plateau télé, pas la force de quitter ce nid douillet, devant elle, les images d’une actualité brutale, faite de douleurs et de pleurs défilaient devant ses yeux tandis qu’elle engloutissait une bonne salade verte.

La sonnette retentie, sa meilleure amie qui l’invitait à sortir…

« Je suis trop fatiguée, je ne vais pas tarder a me coucher, mais entre prendre un café, j’allais m’en faire un ».

Elles étaient assise l’une en face de l’autre, dans le salon, discutant de choses et d’autres, de leur journées, et petit à petit, le sujet du satin vint rapidement, et les deux amies n’étaient pas totalement d’accord, car si Gwenn n’y voyait pas d’inconvénient, son amie en revanche en voyait un de taille… le satin… ça glisse !!!

En quoi le fait que le satin glisse pouvait être un inconvénient, pour elle, bien au contraire, c’était encore un avantage.

Mais Lise tint à lui prouver le contraire, proposant alors à son amie d’en faire un pari… A 10h00 demain matin, Gwenn avouerait que ce détail, serait un inconvénient.

Cette dernière accepta, et Lise avait carte blanche pour le lui prouver. Cette dernière lui proposa de l’attendre le temps pour elle d’aller chercher quelque chose.

1h00 après Gwenn ouvrait a nouveau la porte a son amie qui tenait un sac a dos sur l’épaule. Elles prirent toutes deux la direction de la chambre, et sans plus attendre, Lise dévoila le contenu de son sac.

De nombreuses cordes de coton étaient alignées sur le lit, Gwenn comprit aussitôt ou voulait en venir Lise, et après avoir hésite un long moment, fini par accepter de relever le défi, après tout, elle avait fait un pari et devait le gagner.

Apres les avoirs croisés dans le dos, Lise commençait a lier solidement ensemble les poignets de son amie. Puis, a l’aide d’une autre corde, lia ensemble le plus rapproche possible, les coudes de son amie. Vint ensuite le tour des jambes, juste au dessus des genoux, puis celui des chevilles. Apres quoi, elle entreprit de rassembler en les liants ensemble dans le dos, les chevilles et les poignets de Gwenn, cette dernière devant alors plier le plus possible les genoux, rabattant ses chevilles sur son fessier.

Les liens étaient serres, et cette position semblait être assez difficile à tenir.

« Voila chérie, si tu ne parviens pas a atteindre les nœuds, saches que je te laisse une paire de ciseaux, au milieu de ta table basse, dans ton salon, tu n’aura qu’a ramper jusque là-bas pour te libérer. C’est ainsi que tu admettras que le satin glisse, et que c’est un inconvénient ».

Apres avoir bâillonnée son amie, a l’aide d’une étole en satin, elle l’embrassa, et lui promit de revenir vers 10h00 le lendemain matin.

Gwenn ne s’attendait pas a ça, et une sensation d’angoisse jaillit aussitôt. Malgré ses cris étouffés, et ses gémissements plaintifs, Lise disparu, fermant a clef derrière elle, laissant alors sa prisonnière dans un état d’angoisses, et de panique qu’elle n’avait jamais connu au par avant.

Au bout de longues minutes, et après être débattu de toutes ses forces, dans l’espoir de pouvoir se libérer, elle du se rendre a l’évidence… Elle devait descendre de son lit, et ramper jusqu’au salon pour atteindre les ciseaux.

La première difficulté rencontre, fut de devoir descendre du lit. Or, sa nuisette satinée, contre ses draps de satins étaient une horreur… elle ne parvenait pas a se mouvoir… Elle glissait !!!

Gwenn se débattait tant bien que mal, essayait d’atteindre le bord du lit, mais elle était obligée de rouler sur elle-même pour le faire, et avait peur de glisser et tomber une fois au bord du lit.

Tout en livrant bataille contre ses liens, Gwenn vivait une nouvelle sensation qui lui faisait peur… La sensation de liberté qu’elle adorait en portant des vêtements en satin, contrastaient avec cette impuissance dû aux liens…Elle appréciait de plus en plus cette impuissance. Le fait de glisser sur ces draps, lui offrait une quasi jouissance… Jamais elle n’avait ressenti cette nouvelle sensation avant.

Elle était maintenant au bord du lit. Cela faisait déjà plus d’une heure qu’elle se débattait, mais il lui fallait descendre sur l’épaisse moquette blanche de sa chambre. Apres une rapide analyse de la situation, elle laissa glisser ses genoux en premier, et son corps fini par suivre. Elle chuta un peu moins lourdement qu’elle ne le redoutait, mais la douleur de cette chute avait quand même été rude.

Il lui fallait maintenant atteindre le salon, elle pensait que ce serait plus simple, mais ce fut tout aussi difficile, et elle devait s’aider de son menton pour avancer, car ses bras tires en arrière, ses coudes joints, n’offraient aucun point d’appuis. Elle devait ramener ses genoux vers l’avant, tant qu’elle le pouvait, et sa position de Hogtied ne lui laissait pas beaucoup de liberté de mouvements, puis après avoir ramenées ses genoux, elle devait à l’aide de son menton, se faire glisser en avant.

Sur le moment, cela lui semblait être une bonne idée, mais après quinze bonnes minutes, elle du se rendre a évidence, elle glissait trop, et retombait souvent lourdement sur le ventre. Elle prit alors la résolution de rouler sur elle-même, mais la aussi, la douleur de ses bras lies ensemble, et le poids de son corps sur ses poignets lies lui fit vite abandonner, pour ramper à nouveau.

Au bout d’une heure trente environ, elle fini par atteindre la table basse du salon. Epuisée, sa poitrine, son bassin, et ses genoux lui faisaient mal… Le fait de ramper avait endolori ces parties du corps en contact avec le sol.

Elle devait maintenant se mettre a genoux pour atteindre les ciseaux, places au milieu de la table basse…

Apres une brève réflexion, elle entreprit de se relever a l’aide de son canapé. Posant son menton le plus haut possible sur le bord du canapé, elle tentait de se relever, dans l’espoir de basculer à genoux… mais en vain. Elle s’aperçu rapidement, qu’hormis le fait qu’une fois de plus sa nuisette l’empêcher de se mouvoir tranquillement tant elle glissait, mais sa position de Hogtied, l’empêchait aussi de se mettre a genoux. Elle tentait alors de faire basculer la table basse, mais la aussi, l’espoir fut vain, car a cause du poids de la table, et du peu de liberté de mouvements, elle ne parvint même pas a bouger la table.

Elle eu plusieurs idées, elle fit plusieurs tentatives, mais finalement, épuisée, elle fini par rester allongée sur le sol, résignée.

Elle était résignée, bondagée, impuissante, et le contact de sa nuisette était d’une douceur jamais ressenti au par avant.Mais dès qu’elle tentait de bouger, elle fut rapidement rappelée à l’ordre… Le contact du satin, sur les parties de son corps endolori, brûlait !!!

Et c’est a dix heures pile, que Lise réveilla son amie.

Sur le coup, cette dernière fut surprise de ne pouvoir bouger… mais la soirée lui revint à l’esprit… Lise, les cordes, ce dur chemin parcouru de sa chambre au salon… Elle s’était endormie, épuisée par tant d’efforts, et Lise avait gagnée.

Mais Gwenn n’avait pas tout perdu, elle s’en rendait bien compte quand Lise la libérait…

Elle le ressentait de tout son être… Elle en avait peur, mais appréciait ressentait une déception a idée être libérée… Et ce n’est qu’au moment ou Lise voulu lui libérer les poignets, que Gwenn sauta le pas…

« Non, Lise, s’il te plait... Ne me détache pas les mains… Je pourrais le faire toute seule maintenant… Je vais aller me coucher sur mon lit… Tu avais tort, et j’avais raison… Le satin glisse, et c’est un avantage… Ainsi, j’étais deux fois plus impuissante… Soumise à ton expérience, et ce fut un régale.

Merci chérie, laisse-moi comme ça maintenant s’il te plait, et repasse demain soir… Avec tes cordes… »

Le Vicomte

mardi 6 mai 2008

Love Bound

Voici un petit slide show pésentant quelques unes de mes réalisations perso, faite à partir de photos prises sur le net...



Love Bound
envoyé par mrlevicomte

Gwenn - Le livre

Voilà, après quelques années d'écritures, une moitié de texte un jour, l'autre moitié le mois suivant, un texte entier en une heure, ou plus rien pendant de longs mois... bref, écrire ce livre fût pour moi un exutoire, j'en avais le besoin quasi vital, et c'est donc du fond du coeur, parfois sortis des trippes que je vous livre ici ce qui enfin devient réalité... Mon livre... Je me devais de vous le présenter l'ayant posté sur ce forum... Je ne saurais trop remercier ma belle, notre petit chaton national pour son aide si précieuse, ainsi que Loucha pour ses mots résumant si bien le
thème du livre...

Le voici donc enfin...

Acheter Gwenn

"Certaines personnes ont besoin d’être guidées… D’autres, le besoin de guider. Entre la souffrance du plaisir, et le plaisir de souffrir il n’y a qu’un pas et c’est dans une relation, satinée, intrigante, et attrayante, que vont se rencontrer cet homme et cette femme. C’est en découvrant, voir redécouvrant ensemble un art de vivre encore tabou de nos jours, qu’ils apprendront à s’aimer. Beaucoup de ceux qui liront ce livre se remémoreront alors leur fantasme. Peut-être le conservez-vous secrètement, de peur de ruiner votre réputation…"